Polynésie française : le Récit

L' île de Moorea


En Pratique

  • Hébergement :

       - Anapa Beach (3 nuits, du 14 au 17/03 ; 143 € par nuit pour nous 3) .

         Après des recherches infructueuses concernant des logements

         abordables, nous nous sommes autorisés ce logement de charme ...

         Un peu plus cher, mais tellement mieux ! Propriété ouvrant sur ce que

         nous pensons être la plus belle plage de sable blanc de l’île, ses atouts

         sont par ailleurs multiples ; accessible à pied depuis l' aéroport

         (distance  = environ 1 km) ; le logement allie charme et confort ; accueil

         très prévenant de la part de sa propriétaire qui nous a emmené faire les

         courses lors de notre installation ; prêt de kayaks ...

  • Transports :

        - Maupiti-Moorea : avion via Papeete

          ("Pass 2" d' Air-Tahiti) .

        - Location d' une voiture sur 1 unique journée .

        - Moorea-Tahiti : avion ("Pass 2" d' Air-Tahiti) .



On vous raconte ...

 

Nous avions quitté l' île de Maupiti, il s' était temporairement arrêté de pleuvoir . Depuis l' avion, nous pouvions admirer le magnifique lagon

qui borde les alentours de l' aéroport de Moorea .

 


 

Le logement que nous avions sélectionné se situait dans les abords proches de l' aéroport, si bien que nous pouvions rejoindre à pied le magnifique Motu Temae qu' Anapa Beach occupe . Pas étonnant que le Sofitel  ait également choisi ce motu pour implanter ses bungalows ! Dommage, il s' était remis à pleuvoir ... cela allait très vite empirer ; nous allions durant les trois jours à venir, subir une véritable tempête tropicale .

 

 

L' Anapa Beach fait face à Tahiti, il dispose d' un accès direct sur le lagon . Ainsi, depuis son agréable terrasse, on bénéficie

d' une vue assez extraordinaire !

 


 

Tout ici est de bon goût . Nous y avons trouvé le raffinement qu' on peut s' attendre à trouver dans les plus grandes chaînes

hôtelières, exceptée leur sophistication qui personnellement ne favorise pas spécialement à nous mettre à l' aise !

 



 

Le "complexe" se compose uniquement de 3 habitations (hormis l' espace occupé par la propriétaire) . Nous occupions le plus grand des 3 : un logement avec jardin privatif constitué de 2 modules . Le premier est un confortable bungalow comprenant chambre et salle d'eau ; le second, un bungalow regroupant une cuisine, un coin salon / salle à manger, totalement ouvert vers l' extérieur .

 



 

Il aurait été tentant de tranquillement rester séjourner à l' Anapa Beach, d' autant qu' à l' extérieur, les éléments se déchaînaient . Nous décidions cependant de louer une voiture afin de découvrir l' île de Moorea, et assister en soirée, à un spectacle de danse tahitienne .

C' est alors que nous nous rendions à ce spectacle, que notre véhicule s' est immobilisé au milieu d' une "flaque" dont la hauteur dépassait celle du capot, ruinant ainsi notre désir d' assister à un spectacle traditionnel de danse tahitienne .

Le lendemain, notre loueur nous fournissait un autre véhicule ... Il pleuvait un peu moins : nous partions visiter l' île .

 


 

Nous longions tout d' abord la route de ceinture (longue d' une soixantaine de km environ, sans ne jamais s' éloigner de la côte), bordée de quelques jolies baies, et quelques belles plages ; nous y avons par ailleurs, découvert, de bien luxueux complexes hôteliers .

 


 

Mais la majeure partie de l' île est constituée de montagnes inhabitées ... Nous y grimpions : une unique route le permettant ;

les intempéries semblaient particulièrement l' avoir endommagée . Au milieu des montagnes, nous découvrions quelques vestiges,

tels ces maraes . Si le temps l' avait permis, nous aurions volontiers été randonner dans cette partie de l' île !

 



 

Le temps toujours capricieux ne nous avait pas permis de découvrir cette île que nous soupçonnions très agréable ...

Certainement nous faudrait-il un jour revenir afin de mieux l' explorer ?!

 


 


Moorea constituait la dernière étape de notre escale polynésienne .

Malgré une météo vraiment défavorable, nous en gardions cependant,

un agréable souvenir .

Au cours d' une longue attente à l' aéroport de Tahiti, nous découvrions

les titres des journaux relatant les intempéries du week-end .

 



Notre prochaine destination serait l' île de Pâques, pont entre l' Océanie

que nous quittions et à laquelle elle semble rattachée, et l' Amérique latine

(car propriété du Chili) que nous allions désormais abordée ...

 


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